Jean-Marie ANTOINE

 

Journaliste, enseignant, vase communiquant, patron d’une petite société d’édition. Homme du monde façon voyages, Gaumais et fier de l’être. 

Côté écriture, Jean-Marie Antoine est un coureur de 100 mètres, pas un marathonien. Comprenez simplement qu’il se sent incapable d’écrire un jour un roman. 

Son truc, ce sont les textes courts, resserrés. Le plus souvent nappés d’humour et d’autodérision, ses lignes de vie. Et à son âge, dit-il, on ne se refait pas. 

 

Ma vie de confiné

Saison 2: Heures d’hiver 

 

Des chroniques, des bafouilles, des délires. J’ai remis l’ouvrage sur le métier. 

Dans le tome 1, je racontais à ma manière ce curieux printemps 2020, lorsque la planète s’était pétrifiée pour cause de coronavirus.

Voici maintenant la saison 2. Rédigée pendant 155 jours consécutifs lors de ces longues heures d’hiver 2020-2021, alors que la grande pandémie frappait en version deuxième vague. Avec ses nombreuses restrictions, son couvre-feu, la mise sous cloche des liens sociaux et ce climat anxiogène alimenté par les médias. 

En contrepoint, cette petite entreprise éditoriale s’est donnée pour modeste mission d’apporter un peu de bonne humeur et de légèreté.

On y parle donc de l’adieu à Donald, des (dé)fêtes de fin d’année, du spéculoos devenu  biscoff, du tunnel Tata Yoyo ou encore de la cabine de WC égarée dans ma rue. 

Voilà l’ara Thérèse, Croc Blanc, Bébé Antoine, Freud, Napoléon, la harpiste du Nouvel An, Raymond la gourmette, Tarzan et aussi Chantal Goya. Fameux casting. En ces temps de fin du monde, on ne se refuse rien. 

D’autant qu’il faut faire aussi avec les ultracrépidarianistes, les fondus du binge-watching et les adeptes du take away. 

Décidément, rien ne nous sera épargné. Et ce n’est pas Edgard Delest qui va me contredire.