Carine Stage, auteure namuroise, auteure du terroir.

Après ses tribulations voyageuses, Carine nous revient avec deux romans du terroir : « Le réveil de Coquelicot » (fin 2019) et « A l’ombre du quotidien » (avril 2021).

Confinement oblige, Carine oriente à présent ses récits au cœur de notre terroir wallon, la province de Namur plus particulièrement. Là où elle vit, s’évade, rêve et… écrit !  

De multiples recherches historiques, visites sur le terrain et rencontres d’autochtones et personnes ayant un profil professionnel similaire à ses personnages, ses deux romans sont campés dans la Vallée de la Meuse et de la Gelbressée.

« Le réveil de Coquelicot » : Coquelicot est une jeune fille comme une autre… ou presque. Solitaire, elle vit à la Citadelle, avec une vie familiale active – ses parents sont propriétaires d’un gîte. Au gré de ses aventures, un jour, elle fait une découverte d’une galerie qui deviendra son secret pendant des mois. Avec des rencontres animalières et événements improbables, surréalistes parfois. Jusqu’à ce jour où une rencontre hasardeuse va venir chambouler sa vie et le secret prendra une autre ampleur. La voici confrontée à une autre énigme, celle de la relation amoureuse, de ses remises en question, de ses réflexions existentielles, personnelles et professionnelles, entre Namur et Besançon. Face à cette vie mouvementée, Coquelicot parviendra-t-elle à se réveiller ? Ce livre peut s’associer au cheminement de vie de tout adolescent en devenir d’adulte… Ce roman d’intrigue, de suspense, où le lecteur va de surprise en surprise, est destiné à tous publics. Les jeunes et les mamans en sont fort friands.

« A l’ombre du quotidien » : Ce roman, le lecteur le découvre avec passion à travers le regard d’un chat, Tigrou, porté sur les humains.  

Le quotidien, celui d’une famille hyper active, avec trois enfants, qui habitent dans la superbe vallée de la Gelbressée, à Marche-les-Dames. Le père, Jean-François, est agent pénitentiaire dans une prison de haute sécurité. Ses journées ne sont pas de tout repos. Il nous emmène découvrir son travail, mais également les détenus et certaines de leurs histoires.  

Son épouse, Ludivine, est aide-soignante dans un hôpital psychiatrique.  Elle est entièrement dévouée à son métier qui la passionne…  

Nous faisons connaissance d’Agathe, une journaliste bohème dont la clé du bonheur est la sylvothérapie.  

Par moments, vous vous retrouvez en ces personnages principaux, et l’ombre d’un sourire s’esquissera sur votre visage… Le quotidien de tout un chacun peut paraître banal, jusqu’au jour où tout peut basculer, comme nos vies à tous, avec ou sans pandémie !

Débuté avant l’arrivée de cette pandémie, le récit s’en voit chamboulé. L’auteure repart donc à la rencontre virtuelle à présent, de ses témoins, afin de prendre connaissance de l’évolution au sein de leurs milieux professionnels, pour adapter la narration. Car oui, ce roman a pu naître grâce à ses témoins bien réels, qu’ils soient travailleurs dans le milieu carcéral ou dévoués dans le secteur des soins de santé, ainsi que grâce à des citoyens « lambda », victimes, au sens large, de cette vie en mode « pause».

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